Ton sourire radieux tel un lys séraphique

Qui expose toute la blancheur de tes dents

Quand,se posent sur ta bouche angélique

Les beaux rayons purs du soleil moins ardents,

 

Ton front nimbé de fins et subtils jolis plis

Souriant tendrement aux sourcils remplis

De taroupe noire mais bien peu brillante

Qui pare et rend cette section fascinante,

 

 

Tes yeux stellés d’escarboucle d’or

Comme dans les cieux de joli météore,

Qui apostrophent ton joli nez proéminent

Sans laisser un quelconque espace éminent

 

Tes cheveux qui forment une grappe de jasmin

Légers, phosphorescents avec un arôme bénin,

Ton buste potelé et beaucoup plus grassouillet

Quand en canicule, de ta chemise, tu ouvres l’œillet,

 

 

 

 

Ces merveilles ont permis à mon humble cœur

De te faire en son antre un autel en fleur

Où, avec les encens resplendira notre amour,

Sous un précieux dais de lampas chargé toujours.

 

Ce jour est celui d’Amour, ses fils et filles

Pour qu’ils éclairent leurs cœurs d’étoiles

Alors, mettons-nous donc sur toutes les toiles

Pour crier en nous tenant bien sur nos quilles

 

Notre amour. Mettons-nous jusque sur la dune

Pour le confier avec tendresse à la lune.

Le souffler tout doux par la conque à la mer

Et à travers le rossignol à tout l’éther.

 

 

 

Avec le cor, chantons-le aux forêts virides

Aux taillis, aux monts, aux genêts, terres arides

Aux lacs, aux ruisseaux, aux eaux, aux vals,

Exposons-le au monde entier sur les étals.

 

A défaut d’aller de la Chine contempler

Les longues murailles, nous irons admirer

Le merveilleux village lacustre de Ganvié,

La terre précieuse et rouge de Hêvié.

 

Le temple de Python de la ville de Ouidah

Où vivent encore de forts nombreux ‘’ Dah’’

A défaut du mur des Lamentations

Allons doucement, sans précipitation

Visiter le Grand Séminaire Saint Gall.

Boire à l’amour unique, vrai dans le graal.

L’orgue éplorée à la chapelle de mon âme

Vibre encore et lance telle de vive flamme.

 

 

Aujourd’hui, c’est la Saint-Valentin

Tiens sans relâche cette pauvre main

 

 

Ni perlée de gemme, d’émail ou de soie

Garde-là juste jeune fille, attends voir son chrome le soir.

 

 

RICARDO AKPO

 

Ricardo AKPO est étudiant en troisième année Histoire et Géographie  à Ecole Normale Supérieure de Porto-Novo

 

  1. Wouah ! Je me sens comme dans un conte de fées !
    Un brassage entre les merveilles du Bénin et d’ailleurs un peu comme pour montrer que l’amour c’est aussi l’harmonie entre l’homme et la nature, l’harmonie et la tendresse d’un visage en paix avec soi et nature. Bref l’amour c’est un parfait sourire.
    Ricardo, il y a de plus en plus un peu plus que du talent dans tes écrits, il y a de la passion et des émotions fortes qui se dégagent.
    Bravo ! J’aimerais faire aussi bien que toi.

  2. wouah ! je me sens comme dans un conte de fées !
    Un brassage entre les merveilles du Bénin et d’ailleurs un peu comme pour montrer que l’amour c’est aussi l’harmonie entre l’homme et la nature, l’harmonie et la tendresse d’un visage en paix avec soi et la nature. Bref l’amour c’est un parfait sourire.
    Ricardo, il y a de plus en plus un peu plus que du talent dans tes écrits, il y a de la passion et des émotions fortes qui se dégagent.
    Bravo ! J’aimerais faire aussi bien que toi.

  3. Waoooooh belle plume!!!! J’ai pris vraiment du plaisir à lire jusqu’à la fin.Tes écrits incitaient au fait à voir la et donc la fin.Tu as valorisé un point vraiment essentiel à part l’Amour. Au lieu d’aller vivre cet amour ailleurs vivons le chez nous dans nos sites touristiques. Bravo mon frère

    • ALOFA Emanuelle, merci pour l’invitation à vivre l’amour « chez nous dans nos sites touristiques. » Dites-nous comment cela va se passer