La littérature béninoise ces cinq dernières années connait de grandes mutations. Des maisons d’éditions (qui se multiplient) aux blogs littéraires en passant par l’éclosion de nouveaux talents dans tous les genres littéraires (roman, nouvelles, poésie, théâtre, etc.), une certaine fermentation s’observe, pour le plus grand bonheur de notre littérature. De plus, à ses grandes artères, s’affichent les femmes qui n’entendent plus laisser les hommes parler d’elles. Elles se sont ainsi lancées dans la bataille, déterminées plus que jamais, des plus jeunes aux plus âgées, des moins connues du public béninois aux plus confirmées, avec pour leitmotiv, faire flotter partout l’oriflamme de la plume féminine béninoise. De ce fait, que la littérature béninoise connaisse une mobilisation et une ascension de plus en plus sensibles de la gent féminine, il faut noter que cette présence des femmes reste marquée, entre autres, par trois grandes initiatives. En effet, après le cri lancé par Rodrigue ATCHAHOUE qui a donné naissance au recueil de nouvelles intitulé « Dernières nouvelles des écrivaines béninoises  », (Editions Savane 2017, 204 pages), comme par enchantement, sous l’instigation d’Adélaïde FASSINOU, Présidente de l’Association des Plumes amazones, a vu le jour un ouvrage collectif commis par six écrivaines béninoises : « Le temple de la nuit profané  ». Et un an plus tard, en 2018, dix femmes écrivaines béninoises s’associent pour publier un ouvrage remarquable: « Histoires de famille » (Les impliqués , Paris, Août 2018, 157 pages). Cette dernière initiative menée par Gisèle Ayaba TOTIN qui s’est entourée de ses consœurs vivant aussi bien au Bénin qu’à l’étranger, vient donner la preuve que quand on se met ensemble, on peut faire des choses grandes et belles : « Dix plumes féminines béninoises, audacieuses et convaincues de leurs rôles de mère et de donneuses de vie, nous offrent un coffret de dix « Histoires de famille  » . [1].Cette œuvre, jointe aux précédents collectifs, veut hisser les plumes féminines béninoises à un niveau tel qu’il serait désormais impossible de ne plus remarquer que le « Bénin est pourvoyeur de remarquables talents littéraires » (Quatrième de couverture de l’œuvre). Mais alors, quand on a fini de planter le décor, que peut-on savoir des auteures de ce recueil ? Que contient chacun des dix récits ? Quels messages ces récits nous adressent-ils?

Au cœur du livre

Le livre s’ouvre sur une illusion, une « Illusion dermique  ».

 

Le décor que plante Sophie ADONON évoque pour les récuser, les différentes récupérations sociologiques d’un simple accident de pigmentation dont les conséquences sont dévastatrices. A Onklou, un couple attend ardemment un enfant. Le ciel exauce leurs vœux. Mais il se fait que l’enfant est albinos. Se délient alors les mauvaises langues, qui remettent en cause la fidélité de la pauvre Adama. Les prescriptions de la tradition en de pareilles occurrences sont sans appel. Awa, l’albinos, devait subir le courroux de la tradition. L’heure de « laver l’opprobre » arriva. Mais avant que tout ne se consomme, Moulaya se suicide. Triste destin d’une femme qui jure sur l’honneur et signe de son sang le testament d’amour que toute sa vie durant, elle a rédigé pour son mari, dans la douleur et les épreuves qui sont le lot quotidien de bien des femmes sous les tropiques. Des années plus tard, on se retrouve dans un tribunal où doit être tranché un différend qui oppose Adama Boukari et Dramane Moussa. Etait en charge du dossier une certaine Kiri Soumaré, Présidente de la Cour, décidée à condamner Adama Boukari. Elle s’entend seriner par une vieille femme en habit religieux: « Non, Kiri, tu ne peux pas valider ce verdict qui condamne cet homme à une peine de prison, car…. Cet homme est non seulement ton sauveur, mais aussi ton… » (27) Bouleversements intérieurs pour Kiri, femme « à la peau blanche » qui jusque-là ne savait d’où elle venait et qui elle était en réalité. Si Kiri était Awa? Mais alors, serait-elle un revenant? Ne l’avait-on pas tuée dans la forêt conformément aux prescriptions de la tradition? C’est ici que le rocambolesque et le fantastique se donnent la main pour produire, sous la plume de Sophie ADONON, une illusion visuelle et intellectuelle, qui donne à cette nouvelle « Illusion dermique » une allure didactique et sensibilisatrice non seulement sur l’albinisme mais aussi sur la valeur intrinsèque d’un enfant. L’enfant est toujours un don du ciel tout comme la famille qui peut être brisée à tout moment dès qu’un de ses secrets tenus cachés pendant longtemps est révélé au grand jour.

Parmi les causes de dislocation des familles, figure en bonne place l’infidélité. Et si cette dernière est soldée par un enfant extraconjugal, tout se carbonise. Harmonie Byll CATARYA en parle à travers les trois lettres émouvantes qui constituent son texte: « Secret de famille  ».

 

Mais comme on peut le constater, cette même thématique est aussi présente chez Elena Miro K. et Gisèle Ayaba TOTIN respectivement dans « La caresse d’un regard » et « Sœur riche, sœur pauvre  ». Dans secret de famille, l’infidélité du mari a bouleversé la vie des enfants et a poussé l’homme dehors. Harmonie Byll CATARYA a réussi à rendre son récit émouvant car il y a une fibre émotionnelle que le texte fouette en vous. Quand vous assistez au divorce de vos parents et que votre benjamin vous demande de lui expliquer ce qui se passe et qu’il est conscient que vous lui mentez, ce n’est toujours pas facile. Quand les parents se laissent aller parfois à certaines légèretés, pensent-ils toujours aux conséquences dramatiques que leur inconduite peut avoir sur leurs enfants? De toute façon, la famille supporte tout, sauf l’infidélité ou l’adultère. Voilà Elena qui présente une femme qui prend conscience de sa beauté et de l’effet qu’elle a sur un jeune éphèbe. Quand la femme veut tromper son mari, elle peut le faire sous la barbe de ce dernier.

 

« La caresse d’un regard » est une nouvelle pleine de rebondissements où Odile en proie aux tourments que lui cause son attirance pour son « jeune homme de la plage », se fait abuser de son gynécologue. Mais le coup de génie de l’auteure réside à la fin de la nouvelle où éclate la surprise générale quand le mari décroche de la poche du serveur, le jeune homme de la plage, les boucles d’oreilles de sa femme. Odile venait de boire à grande gorgée la honte de sa vie : histoire de famille bâtie avec une forte dose d’érotisme. Provocation ou désir de liberté de la part de Elena Miro K comme c’est le cas chez Gisèle Ayaba TOTIN qui écrit un texte à la première personne en se portraiturant dans l’un de ses personnages à qui elle attribue ses propres traits physiques?

 

 

Ici aussi, il est question d’infidélité. Mais le drame est d’autant plus poignant qu’il s’agit d’un homme qui trompe sa femme avec la grand-sœur de cette dernière. Pierre et Lydia filent le parfait amour. A la narratrice, la vie n’a pas souri autant qu’à sa sœur qui très vite s’est vue comme hissée dans la High society. Elle ne manque de rien. Bien au contraire, elle essaie chaque fois de ridiculiser sa sœur que son mari, Pierre, essaie de consoler en secret jusqu’à ce qu’advint ce qui ne devait pas se produire. Tragique histoire quand une femme se sent trahie par sa propre sœur que son mari gave d’argent! Tragique fin quand deux sœurs se jalousent ainsi qu’en fait cas aussi Adélaïde FASSINOU qui, à l’instar de Gisèle Ayaba TOTIN, écrit son texte à la première personne du singulier: « Ces paroles qui apaisent mon cœur  ».

Certes, ici, il n’est pas question de trahison, mais la narratrice étale tous les torts que lui a faits sa jeune sœur dont elle dit qu’elle ne l’aime pas. Sa souffrance du fait que sa sœur ne l’aime pas transparaît d’un bout à l’autre du récit à travers ses nombreuses plaintes qu’elle confie à sa mère. Il s’agit comme d’un entretien intime entre la narratrice et sa mère qui, malgré sa maladie, a toujours les mots justes et idoines pour apaiser le cœur de sa fille. Quand la confidente rejoint les ancêtres, le vide creusé par son départ reste toujours abyssal. Dans tous les cas, que ce soit Lydia et sa sœur ou la narratrice de « Ces paroles qui apaisent mon cœur » et sa sœur Yabo, le fait est là qu’au sein des familles ce n’est pas toujours la bonne entente. Et si l’argent s’y mêle, eh bien, c’est l’enfer sur terre.

 

Le mot est lâché: l’argent. Un couple nigérian vend leur enfant, âgé seulement de six mois. Lhys DEGLA livre un message poignant à travers ces mots du petit Sunday : « Mon sort, je l’ignorais. Mais quel qu’il serait dorénavant, j’avais conscience qu’il ne serait plus jamais pire que l’abandon, pire que la trahison, pire que la déception. Mon père et ma mère venaient de me vendre comme un vulgaire sac de riz, comme si l’amour n’avait jamais existé, comme si j’avais eu tort de naître(…)  » (pp77.78). Avec Awa, Sunday partage le même destin, celui des enfants rejetés. Si l’argent peut aveugler des parents au point de détruire leur propre famille en vendant le fruit de leur amour, les histoires de familles, les disputes dans les couples, peuvent aussi se solder par des fins dramatiques.

 

Deux nouvelles illustrent ce fait: « Assanhoun conjugal » de Myrtille Akofa HAHO et « Une dispute de trop » de Anaïs AHO. Yèyimè, Sessi, Yali et Hovivi partagent le même mari : Sonagnon. Le domaine où elles excellent le plus, c’est la jalousie, l’arrogance et le mépris de l’autre. Les deux avaient une même ambition: se défier réciproquement pour voir qui l’emporterait. Les deux dernières, issues de la même famille s’allient pour faire front au bloc formé par les premières. Tous les ingrédients sont réunis pour que la poudrière qu’est devenue la maison de Sonagnon prenne feu sans tarder et produise une guerre conjugale. Les femmes ne supportent pas que leur tour soit usurpé par leurs rivales. Et un jour, alors que la jalousie l’avait aveuglée, Hovivi alla mettre le feu aux affaires de Sessi et s’éclipsa pendant que son bébé, Bignon dormait, à son insu, dans le lit de sa rivale. Jalousie, quand tu tiens les femmes!… Si avec « Assanhoun conjugal  », il s’agit de disputes entre coépouses, chez Anaïs AHO, nous assistons à une guéguerre entre Willy et sa femme.

Ils filaient le parfait amour jusqu’à ce que la grossesse survienne. La femme avait réussi à décrocher un emploi tandis que l’homme était encore à se chercher. Il était devenu susceptible et irascible et disait que sa femme le dominait parce qu’elle avait un bon boulot. De l’autre côté du regard, la narratrice, dans une prosopopée, raconte l’histoire et les circonstances dans lesquelles son homme l’a tuée en faisant croire à tous qu’elle  a été assassinée. Triste fin d’un amour qui a à peine fait éclore ses premiers bourgeons.

Les relations amoureuses ne finissent pas toujours bien quand elles ne sont pas sincères. C’est, du moins, ce qui se dégage de la nouvelle de Eliane CHEGNIMONHAN : « L’amour d’une grand-mère  ».

Annabelle, une âme pas belle, était fort amoureuse de Marc-Aurel, son Honey. Elle l’invite chez elle mais ses méchancetés envers la gouvernante scandalisent le jeune homme. Le retour inopiné de Luce, sa petite-sœur, envenime la situation. Elle découvre leur grand-mère bâillonnée. S’instaure alors une bagarre sauvage entre les deux sœurs. Annabelle avait honte de sa mémé qui avait pourtant tout donné pour les éduquer et les élever depuis la mort de leur mère. Son Honey, médecin de formation, stabilise la situation et administre les premiers soins à la vieille avant que n’arrive l’ambulance. Dépité, il rompt avec Annabelle et jette son dévolu sur Luce. Sait-elle que l’ancien futur fiancé de sa grand-sœur était de retour au pays et qu’il s’apprêtait à demander sa main? Rien ne vaut la simplicité et le naturel. On n’a pas besoin de fard et de superficialité pour avoir le cœur d’un homme.

 

Comme par enchantement, l’œuvre finit sur une illusion, celle que crée Carmen TOUDONOU dans « Le fausset » une ode poétique où elle fait émerger Elodie et Gabin dans un acte complexe qui est à la fois Amour, Naissance, Mort et Renaissance. La poétesse fait résider tout son avenir et tous ses espoirs en ce demain où fleurira sa rose, où commencera une nouvelle vie. Et l’œuvre se fait languissante, angoissante et aussi persistante que cette voix de fausset, très aigüe à souhait, qui se détache sous chaque note qu’écrit la poétesse. Enfin la délivrance, le dédoublement de sa douce Elodie: Gabin est né. Tout recommence dans cette fin qui relance la vie : « Elodie est le tout, Gabin est la partie. Et vice versa. » (P.153). Douloureuse parturition qui relance l’éternel débat sur le sens de la vie : « Comment noyer un mort? Le mort est comme un poisson. Il ne se noie pas.  » (P 152)

 

Mes impressions

Je commence par saluer cette noble initiative de Gisèle TOTIN de s’associer ses consœurs de plume pour ce projet qui marque la littérature béninoise de son empreinte de combativité et de créativité. Quand les femmes s’organisent, elles produisent des œuvres merveilleuses. Il faut aussi saluer le génie qu’elles ont eu de mixer littérature et peinture.

Sœur Henriette Goussikindey. / Photo Lucie Sarr

Félicitations à la Sœur Henriette Marie GOUSSIKINDEY pour l’illustration de couverture. La qualité du papier est bien, et le travail éditorial remarquable.

Ce recueil où cohabitent la nouvelle, le récit et la poésie, porte bien son titre: « Histoires de famille  ». C’est vrai qu’on s’attendrait à un recueil de nouvelles, mais en réalité, ce vœu n’est pas totalement exaucé. Toutefois le livre a le mérite de toucher un des points névralgiques de nos sociétés: la famille. Car, il faut reconnaître que « De toute évidence, « ensemble », ces dix femmes ont peint un tableau truculent, riche des problèmes que rencontrent nos familles et aussi du poids, parfois trop lourd, qu’on fait porter à la femme sous nos cieux.  »[2]

Elles ont compris, les auteures, l’importance de la famille et les dangers qu’elle court si elle n’est pas entretenue. Elles sont conscientes que : « Il n’y a pas d’Etat stable sans famille stable; pas de famille stable sans femme stable  ». (Tragédie du Roi Christophe, P.89). Ce recueil sonne comme un appel à l’Afrique à se rappeler ce qu’elle est pour le monde. Car «Si l’Afrique est le berceau de l’humanité, cette dernière attend d’elle qu’elle lui donne ce qui constitue le plus grand trésor du monde: «le respect de la vie et de la famille. », qu’elle redevienne ce foyer d’ignition où la vie se forge pour le règne de la civilisation de l’humain ouvert à la vie. Le salut ne réside pas dans le mimétisme ni dans la transplantation en Afrique de l’Europe et de ses travers.»[3]. Et comme on peut le constater, ces dix femmes, mues par la seule et même volonté d’apporter leur pierre à l’édification de notre commune société, puisent aux tréfonds de leurs entrailles maternelles ces histoires qui ramènent à l’importance de la famille. Qu’elles peignent les violences faites aux albinos, le trafic des enfants, les violences conjugales, la polygamie et ses travers, les jalousies des femmes, l’infidélité conjugale, les mésententes entre sœurs utérines, les relations amoureuses factices et intéressées et la maternité, il faut entendre résonner derrière chaque mot la colère de ces auteures qui ne veulent plus que les mauvaises herbes prospèrent. Seydou Badian a dit que: « Les pintades regardent celui qui les guide. »[4]. Les femmes savent que la société repose sur elle et qu’il leur revient de montrer le bon chemin. C’est pourquoi nos dix auteurs ont voulu, à leur manière, nous rendre plus proches de ce que vivent nos familles qui sont parfois vues de l’extérieur comme des paradis terrestres. Et pourtant la vérité est toute autre. Un homme qui bat à mort sa femme, une jeune fille qui bâillonne sa grand-mère, une femme qui, par jalousie, met le feu à la chambre de sa coépouse alors qu’elles sont toutes sous le même toit…. voilà autant de situations réelles de la vie de nos familles que les auteures ont mises en lumière.

Les situations sont mises en lumière dans un style à la fois lumineux et simple. Outre quelques termes juridiques techniques employés par Sophie ADONON dans « Illusion dermique», le livre ne renvoie pas au dictionnaire. Et pourtant le style est soutenu. Et c’est ce qui fait le réalisme de l’œuvre. Les personnages sont un peu intrigants, audacieux, vicieux, bizarres, mais ils traduisent quelque part le réel. Que ce soit les parents de Sunday ou Odile ou encore William, et même les quatre épouses de Sonagnon, chacun d’eux, avec le caractère que leur a attribué leur auteure, renvoie à ceci que : « L’homme a des racines charnelles ; on ne peut l’élever qu’en s’appuyant sur ce qui a pour lui la saveur du réel. »[5].

 

 

Conclusion

En sortant de ce livre, l’on se rend compte que:

« Les mots ont été créés par l’homme

Pour qu’ils deviennent parole,

Pour qu’ils servent à communiquer à autrui

Ce que l’on sent et ce que l’on pense (…) »[6]

Dans ce sens, exprimer ce que l’on sent et ce que l’on pense dans le sens de la sensibilisation et de la formation des consciences, c’est faire œuvre utile et rendre à la vérité le culte qui lui est dû. Qu’on le veuille ou non, la littérature demeure une arme puissante et incontournable dans le processus de l’éducation des peuples. Et en même temps que nous félicitons et saluons les dix auteures qui nous ont offert ces « Histoires de famille», nous espérons que de telles initiatives se renouvellent et s’étendent à d’autres auteures en herbes. C’est aussi de cette manière-là que nous pouvons faire éclore des talents littéraires chez nous.  L’œuvre est disponible en librairie et en ligne sur le site de L’Harmattan. Il suffit de l’acheter et de le lire pour mieux savourer ce plat littéraire servi avec amour et délicatesse. Ne ratons pas le rendez-vous de faire en sorte que notre pays ne soit jamais un désert de compétences.

 

Destin Mahulolo

 

NB: Toutes les photos publiées dans le présent article, sauf celle de la Sœur Henriette Marie GOUSSIKINDEY, sont prises sur la page auteur de Ayaba Totin.

[1] http://biscotteslitteraires.com/vient-de-paraitre-histoires-de-famille/

[2] http://biscotteslitteraires.com/vient-de-paraitre-histoires-de-famille/

[3] http://biscotteslitteraires.com/dieu-mort-famille/

[4] Seydou BADIAN, Sous l’orage, Présence Africaine, 1972, Paris, p. 36.

[5] Maurice ZUNDEL, Notre Dame de la Sagesse, Editions du Cerf + Juvisy, Paris, 1935, p.1.

[6] Monseigneur Robert SASTRE, Paroles d’un prophète, (Homélie de la première profession religieuse des Sœurs Servantes de la Lumière du Christ, à Sè le 2 février 1992), Editions Catholiques du Bénin, 2010, Cotonou, p.147.

 

  1. Après cette lumineuse présentation du contenu de l’ouvrage, il ne reste plus qu’à franchir ce pas vers le libraire, pour se rassasier de ce repas littéraire brillament cuisiné par ces dix mousquetaires de la plume.

    • Hâtez-vous, Monsieur Padey, votre libraire vous attend, et surtout, ne nous privez pas de vos impressions après avoir lu le livre

  2. Waouh. La présentation de l’ouvrage donne envie d’aller le dévorer. Hâte d’avoir ce joyau en main pour une belle aventure

    • Très bonne décision, Esther. Il faut avoir ce joyau entre ses mains et le parcourir de ses yeux. Tu ne seras pas déçue