Je vis l’amer délice
De mes jours de sucres salés
Pour sentir les sentiers perclus de mes douleurs.
Violer le silence de mes viscères atrophiés
Depuis l’abysse de mes ambitions avortées.
Et mon cœur est mort, noyé
Dans cette avalanche de remords et de désirs inavoués .
L’amour est tout moite meurtri de luxure
De promesses mort nées
Et de sensations chimériques.
Tuons l’art mou.
Pour que s’en lassent nos cœurs…
OGA Fabrice
Huuuuuummmm…s’en lassent…j’entends « s’enlacent » huuum les poètes.! c’est beau
Hkr Belkis, sans nasse?
Beau texte
Humm…
L’art mou..
Tuons l’art mou
Pour que nos coeurs » s’en lassent »
Vivons l’amour
Que nos cœurs s’en amassent.
beau texte, en réalité, avec des calembours intéressants