1. Présentation du livre

Auteur : Modeste GANSOU WEWE

Genre : Roman

Editions : Plurielles

Ville : Cotonou

Année : 2014

Pages : 213

2. Résumé du livre

Silvère Yémalin et sa femme Anaïs Vézinou, partis passer quelques jours de vacances paisibles à l’hôtel du parc de la Pendjari, se disputent déjà le soir même de leur arrivée à l’hôtel. Le fait est très simple : Anaïs la célèbre artiste surnommée  « Vénus » voulait jouer un rôle dans un scénario intitulé « Meurtriers à la Pendjari » écrit par Karl Dédy. Elle allait en effet jouer le rôle de celle qui se fera tuer, mais son mari refuse. Ainsi se séparaient-ils quand le drame du scénario se produisit réellement c’est-à-dire que le parc est brûlé et il y aune femme morte. Sorti de leur chambre de séjour après quelques heures, Silvère ayant appris ce qui s’est passé, affirme avec amertume que c’est le corps de sa femme. Après plusieurs heures d’interrogatoires, il déclare qu’il est le meurtrier. Par ailleurs, son beau-père Stanislas Vézinou, ministre et candidat du parti au pouvoir aux élections présidentielles, qui ne le voulait pas dans sa famille, met tout en œuvre pour qu’il paie pour son prétendu acte ignoble. Il faut donc engager des voleurs (Inoussa et Sambo) par l’intermédiaire du commissaire Aglinon pour le tuer. Ce qu’ils firent et on envoya Silvère à l’hôpital avec plusieurs coups de couteaux. Croyant qu’Anaïs était  morte, son enterrement fut fait. Pendant ce temps, Jean-Paul Binon, ami de Silvère et avocat le défendait en clamant son innocence. De même, Anaïs qui n’est pas celle qui était morte, était kidnappée par deux jeunes braconniers (Vincent et Yoann). Ce kidnapping est en effet commandité par Kora Takidi, membre du parti social au pouvoir, rival direct de Stanislas. En connivence avec Adrien Dodji qui a, beaucoup  à gagner, il fait chanter son rival grâce à sa fille par téléphone. Son chantage consistait à ce que Stanislas renonce à sa candidature et envoie dix millions. Ainsi, il sut que sa fille est toujours vivante et regrette tous ses comportements envers son gendre. Mais, il respecta l’ordre et envoya la police attraper ceux qui /étaient derrière tout cela. Revenue donc à la maison, Anaïs va retrouver son mari dans le lit d’hôpital et lui demande pardon. De son côté, Stanislas ayant su que c’est Kora Takidi qui était derrière tout ce plan ; alla le tuer sur un lieu de campagne en présence de la presse et se livra ensuite à la police.

3. Personnages principaux

Silvère Yémalin : Il est un architecte, mari d’Anaïs. Il sera lui aussi une victime dans l’enquête du meurtre de la Pendjari.

Anaïs Vézinou :Elle est une artiste chanteuse connue sous le nom de ‘’Vénus’’. Elle est la femme de Silvère et sera une grande victime des ennemis de son père.

Stanislas Vézinou : Il est le père d’Anaïs et Ulrich. Il est ministre et candidat aux élections présidentielles.

Jean-Paul Binon : Il est un ami de Silvère et avocat. C’est lui qui défendra ce dernier.

Nathalie :Elle est la femme de Jean-Paul et journaliste. Elle aidera son mari à mener des enquêtes.

Kora Takidi : Il est membre du parti au pouvoir. Il est le rival de Stanislas et veut être le candidat du parti. Il sera à la base des malheurs des uns et des autres.

4. Personnages secondaires

Laurent (gérant de l’hôtel de la Pendjari, il sera un témoin), Commissaire Aglinon, Avléssi (mère de Silvère), Nina(femme de Stanislas Vézinou, mère d’Anaïs et de Ulrich), Ulrich V.(frère de Anaïs), Divine Ayissi (mannequin, amoureuse de Ulrich), Adrien Dodji (Directeur de publication d’un quotidien, il est surnommé Adé et sera le complice de Kora), etc. …

5. Citations

« …aucune rupture, aussi temporaire soit-elle ne se fait sans un peu de regret, un peu de tristesse. Un au revoir même s’il n’est pas un adieu, reste tout de même douloureux. » p. 23

« Aucun parent n’espère survivre à sa progéniture. » P. 29

« … le cœur est une boussole qui nous guide dans nos différentes quêtes. » p. 81

« … ignorer le passé, c’est se condamner à refaire les mêmes erreurs. » p. 82

« La vie est ainsi faite …. Elle n’a rien de juste. » p. 180

Géraud YOCLOUNON