LA VIE!

LA VIE!


La vie me semble être dans un paradis,
Alors que c’est un pur paradoxe devenant de page en page flou.
Ouf ! Que puis-je dire enfin pour soulager mon inquiétude,
Si ce n’est qu’un simple courage me souhaiter ?
La VIE, étant un Vrai Itinéraire Éternel, me saoule parfois quand je compris qu’elle n’avait rien à voir avec la nature, mais plutôt avec les espèces qu’elle contient.
Espèces ???
Hum!!!


À dire vrai, l’Homme est à la tête de ces espèces qui, au lieu de concourir au bien, joue pour le mal. Oui, j’en suis persuadé jusqu’à convaincre.
La vie nous donne de meilleures opportunités à saisir quand la perversité combinée à l’injustice, régnant au dedans de l’Homme, fait qu’elles sont souvent bafouillées.
On ne pourrait être dans une vie d’humains qui laisse à croire être dans un paradis terrestre alors que nous vivons dans une forêt où tout semble être sauvage sans secours.
La vie, parfois, me dégoute quand elle goutte du sang, oui du sang.
Ah! Dans quelle vie sommes-nous?
Une vie d’amertume, d’injustice, de jalousie…
À en croire mes mots, les amitiés, les rencontres tant amoureuses que politiques, la naissance d’un bébé, tout commence par une joie adoucissante que blessante, précédée de messages éloquents ne laissant nulle place à la haine. …Foutaise !
Tout commence bien quand les deux partenaires se rencontrent jusqu’à se connaître, la suite devient éblouissante ;
Tout commence bien quand l’étudiant obtient son passeport pour la vie estudiantine ;
Tout débute normal quand, dès ma naissance, je perçus tout telque je le pouvais.
Hélas !!!
Le caméléon change de couleur pour insinuer que dans la vie, les vicissitudes ne manquent pas de marquer leurs présences dans le quotidien de l’Homme et que la vie n’est pas faite que de bonbons mais aussi d’aigreur. Oui, je comprends. Mais cela s’exagère quand c’est l’Homme même qui en porte le manteau et devient du coup un blocage dans la vie de son prochain. De la perversité à la méchanceté. En fin, je cerne le sens de la vie et comment m’y tenir.
La vie a rendu la nature belle et vivable, mais l’espèce humaine sensée, devenant ainsi insensée, y est obscure.

Béranger YAKASSOU

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