C’est une histoire qui commence en amitié
Si bien que l’Amour frappe à la porte.
Il nous porte et on se lance
Sans prendre des cours de Danse.
On écoute le son de nos cœurs en silence
Vole, vole, vole petit oiseau
Vole de joie et d’amour
Moi c’est ici que je veux faire mon nid
Tu sais il y a tellement de choses ici.
Ici c’est un doux soleil
Des femmes au moral d’Hercule qui changent le monde
Je ne fantasme pas
C’est bien réel
Mon cœur t’appartient
Mon être ne veut que toi
Et pourtant tu es si loin
Et tout nous sépare
La grisaille est ton parfum.
Et moi mon cœur brûle de chagrin
Alors je te laisse partir
Je te laisse voler Petit papillon
Vole, vole tout doucement
Et si je ferme les yeux
C’est pour que tu oublies les larmes de mon âme.
C’était un amour impossible
Que le temps s’est chargé de défaire.
Je ne voulais que toi
Toi, ce n’était plus de l’amour mais de l’obsession
Et Toi si loin
Et moi si proche
Te rejoindre c’est impossible.
Ici j’ai toute ma vie
Il y a ce nouveau monde à construire
Et toi tu rêves d’enfants
De rires et de rêves.
Une vie de bohème
A écrire des poèmes
Et pourtant moi qui chantais :
Toi et moi jusqu’au bout du monde
Comme si la terre n’était qu’un point.
On ira jusqu’aux versants de la liberté.
Et si mon cœur te réclame
Je saurai le faire taire.
Moi j’irai jusqu’à la fin de mes rêves
Je suis sûre de faire le bon choix
Tu avais dit que le temps décidera.
Il l’a fait
Aime ta grisaille
Moi je veux mon doux soleil.
Et si aimer c’est laisser partir
Vole vole, vole petit oiseau
Vole vole, vole ne t’arrête pas
Ne t’arrête jamais
Suis le chemin du bonheur
Suis cette voie que tu as choisie.
Vole, vole et vole petit oiseau
Vole et vole dans le bleu de mon cœur.
L’amour ça fait toujours mal
On prend toutes les précautions en vain
Les premiers instants sont toujours magiques
Mais la fin est toute tragique.
Moi je l’ai connu
Et je ne regrette pas
Même si je porte de mortelles cicatrices.
L’amour je l’ai rencontré en lui
Il a pris mon cœur
Ma vie et mon être
Il m’a transporté dans une autre dimension
L’amour je l’ai vu dans le sourire
De deux êtres d’univers différents
Chantant le même refrain.