Interviews

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Nous recevons dans cette rubrique les auteurs d’ici et d’ailleurs. Qu’ils soient béninois, sénégalais, ou français, les écrivains que nous questionnons se prêtent ici volontiers au jeu et permettent à nos lecteurs de découvrir d’avantage leurs œuvres, leurs personnalités et bien d’autres.

« Il est urgent que l’on inculque des valeurs aux enfants dès le bas âge », Christine ELONG.
« Piégée par mon sang » est un roman qui entre dans le registre Réaliste – tragique. Il s’inspire de l’histoire d’une
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« La littérature dans nos géographies est dynamique et inventive », Joseph MBARGA.
Pour moi, il faut beaucoup lire pour bien écrire. Cela permet de connaître ses goûts, peut-être de découvrir ses forces
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 » Les prix ne font pas de vous un meilleur artiste, » OsvaldeLewat.
Un prix est toujours un encouragement. Une incitation à continuer. Evidemment il faut en relativiser la portée. Les prix ne
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« Je crois dur comme fer en la jeunesse africaine » Bertrand MBOMENI.
J’aime la femme. C’est un être qui inspire et qui régule le sens de mes idées dans ce monde magique
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« Je pense que les gens lisent toujours, mais moins qu’avant « .
J’adore l’humour. Je trouve que rire est une forme de divertissement qui pimente la lecture d’un livre. Ainsi, la saga
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Les Journées poétiques sont un festival de poésie qui tend à rendre plus visible la poésie béninoise.
Les Journées poétiques sont un festival de poésie qui tend à rendre plus visible la poésie béninoise en l’occurrence celle
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« Je crois dur comme fer en la jeunesse africaine » Bertrand C. MBOMENI.
Je crois dur comme fer en la jeunesse africaine. Le courage à toute épreuve en la jeunesse malienne, centrafricaine sénégalaise
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« Pour vivre heureux, il faut embrasser le silence de la solitude » Kwami Hugues BALOGOUN
En Afrique, il n’existe pratiquement pas de démocratie mais plutôt une instauration de l’ethnocratie qui engendre des guerres ethno-tribales partout
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« Dans les foyers, on laisse croire que la femme est l’esclave de l’homme » Frank William BATCHOU.
Dans nos maisons, on fait croire, sans le dire officiellement, que le jeune garçon est le dieu suprême. Qu’il doit
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