» Je pense que la littérature béninoise a de très beaux jours devant elle » Épaïnète ADJINAKOU.
Beaucoup pensent que l’amitié, c’est de régler tous les problèmes de l’autre à sa place, penser à sa place ce qui est bien pour lui, et parfois même planifier toute son existence.
Giraud Mbarga nous livre son premier bébé!
L’art de manier les mots a ceci de particulier qu’il sait choisir ce qu’il faut dire et le mettre où il faut.
« On ne quémande pas le respect, on le gagne », Lorance-K.
De toute évidence ! La recherche du gain facile a toujours existé. Ce n’est pas un phénomène nouveau. D’ailleurs, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Seulement, elle recrute des clients de plus en plus jeunes et j’avoue que cela inquiète la mère et l’éducatrice que je suis.
Où suis-je?
Le devenir de l’homme ne se définit que par ses actes dit-on.
dans cet espace, j’ai torqué aux portes,
je dis j’ai frappé aux portes des gens bien intentionnés,
des amis, des frères et soeurs aimés pour trouver un viatique, mais égolo !
« La poésie est courte mais son temps d’imagination est bien plus long », RAY THE PRINCE.
Que certains éditeurs arrêtent de se comporter comme des commerçants. Le livre n’est pas un secteur riche financièrement. Si vous plongez dans l’édition, faites le travail qu’il faut ou alors abandonnez ! Un livre ne meurt pas aux lendemains de sa parution, ça devrait être le début de sa vie !
L’écrit ou le cri pluriel dans « Le chien de l’empereur » d’Alabassa Worou
La narratologie est la discipline qui étudie les techniques et les structures narratives mises en œuvre dans les textes littéraires. C’est, d’après Késsé Edmond N’Guetta[4], une discipline fondée sur l’étude des textes narratifs. Par le terme de narratologie, nous ne voulons pas entrer dans le contexte des formalistes russes, mais juste parler de la technique narrative utilisée par Alabassa Worou.
« Les Hommes se mangent la queue »de Kelly YEMDJI
Pour emprunter à Stendhal ses mots, Kelly YEMDJI s’est baladée le long du chemin avec un miroir. C’est dire que son recueil de Nouvelles raconte la société dans sa plus vraie mais laide réalité.
« Les éditeurs africains publient de bons livres » Serge Kevin BIYOGHE.
Globalement, ils ( les jeunes) ne lisent plus. On peut compter sur les doigts de la main, ceux qui lisent les livres du début jusqu’à la fin. C’est dommage !