« Ces filles qu’on n’oublie jamais » de Bill Fabroni Yoclounon
Inutile de forger mes propres mots pour commencer à dire « Ces filles qu’on n’oublie jamais« . Bill Fabroni Yoclounon sait parler de ses histoires et les décrit en quatrième de couverture en disant <<Chaque femme est un visage de la société. Chaque nouvelle de ce recueil dépeint une femme, donc une part de notre communauté>>. L’écrivain trouve en chacun de ses personnages principaux qui sont toutes des femmes un idéal commun : l’innocence. Les canaux de narration sont souvent une lettre, un journal intime, une réflexion intérieure intense, une remise en cause. Dix nouvelles se déroulent dans ce recueil à travers des lignes matures.1- Sucré-salé parle de maternité. Elle décrit la délivrance de Grâce et de Kate, deux femmes différentes que l’accouchement relie et sépare tout autant telle une histoire vraie tant la réalité des faits est surprenante. 2- « Journal intime d’une gamine » donne la parole à Eugénia, une enfant de dix…
« La littérature a besoin qu’on la promeuve, c’est un fait » Pauline M. N. ONGONO
Ônoan est une agence littéraire et de communication littéraire basée au Cameroun. Bonjour les amis. Nous sommes très heureux de recevoir pour vous aujourd’hui, une femme dans le domaine de la diffusion du livre. Il s’agit de Pauline M. N. ONGONO: » La vie littéraire au Cameroun et en Afrique est en ébullition. Les choses bougent de plus en plus. Des rencontres littéraires, des associations littéraires, des promoteurs littéraires, et autres initiatives, naissent tous les jours. Ce qui est encore plus intéressant, c’est que ces mises sur pied sont le fait des jeunes ». BL : Pouvez-vous vous présenter ? PO : Bonjour à vous et à vos abonnés. Je suis Pauline M. N. ONGONO, une Camerounaise amoureuse des livres. J’ai une formation en information documentaire (bibliothéconomie, archivistique et documentation) acquise à l’ESSTIC (Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication) de Yaoundé. Lasse d’être une bibliothécaire ordinaire entre…
« J’écris surtout pour guérir mes plaies » Koffi Victoire GNENGBA.
Bonjour les amis. Aujourd’hui lundi, et nous recevons à cet effet sur votre blog, un jeune auteur togolais: « Pour permettre aux écrivains de nos pays de sortir de cette ombre, il va falloir inscrire massivement les œuvres des écrivains africains dans le système éducatif ( du primaire jusqu’à l’Université ), placer en bonne quantité leurs ouvrages dans les rayons bibliothécaires, faire de véritables promotions des œuvres sur tous les plans ( cafés, dédicaces, débats, des émissions radiophoniques, sur les chaînes, etc.), multiplier les travaux critiques, etc. » BL : Bonjour, cher l’écrivain. Présentez-vous à nos abonnés. KG : Bonjour, monsieur le promoteur, bonjour à tous les abonnés de la page » Biscottes Littéraires ». Je me nomme Koffi Victoire GNENGBA, âgé de 21 ans. Je suis étudiant en dernière année de licence au département de Lettres Modernes à l’Université de Kara, et auteur d’une trilogie à savoir Le prix du rendez-vous d’amour ( nouvelles),…
« Colorant Félix » de Destin AKPO: Si je te le dis, on ne me croira pas! Mais croyez-moi!
Comme le dit Ahouangan Toukpossᴐ, personnage de l’ouvrage à présenter : SI JE LE DIS, ON NE ME CROIRA PAS ! J’ai sous la main un livre difficile à présenter. La noblesse de la littérature africaine, celle béninoise surtout, c’est de se déconnecter peu à peu du prestige occidental tant adulé par le passé pour s’attacher au vestige africain, celui-là même qui continue, un temps soit peu, de révéler notre identité. A bien dire, l’audace de l’écrivain béninois est de se libérer de ces exigences méthodologiques et thématiques liées à chaque genre littéraire telles qu’on nous les enseigne à l’école jusqu’à présent dorlotées. Ainsi, l’auteur de ce Roman COLORANT FELIX paru aux éditions « Savane du continent », Destin AKPO prend sa liberté par rapport aux exigences romanesque. Son audace stylistique dans la rédaction de ce roman nous fait dire qu’il fait réapparaitre le roman burlesque et le réinvente à l’africaine ;ce qu’on peut…
« Je ne combats pas l’ennemi avec mots, je le soumets à mes mots » Béatrice Mendo.
Bonjour les amis. Aujourd’hui lundi, nous recevons pour vous une écrivaine camerounaise, Béatrice Mendo: « : Être, pour moi c’est s’interroger. Mille questions entourent notre capacité et notre qualité d’être et d’êtres. L’existence est un gros point d’interrogation qui s’épaissit à mesure qu’on s’interroge ». BL : Bonjour, Béatrice Mendo, nous sommes heureux de vous accueillir sur Biscottes Littéraires. Veuillez vous présenter aux lecteurs. BM : Je suis écrivaine camerounaise, qui n’a de cesse de repousser les limites du formidable territoire du mot. Je dis souvent aussi que je suis un fonctionnaire fantasque, qui délaisse volontiers l’écriture formelle et formalisée liée à son activité professionnelle, pour me laisser aller à une écriture dans laquelle s’épanouit mon goût pour l’ironie et autres tournures de style qui désarçonnent. BL: Comment est née et a grandi votre passion pour la littérature? BM : Ma passion pour la littérature est tellement liée à mon goût immodéré pour la lecture…
“À toi qui t’en vas” de Destin AKPO: Hommage à un ami cher.
On le sait, l’écriture, c’est du mensonge rationnel. De l’imaginaire au réel, il y a un trait fictif qui sert de pont pour le passage de la raison. D’où la réflexion est d’abord antinomique, fallacieuse, rationnellement apparente, car c’est elle qui sous-tend l’écriture. Le réalisme de l’écriture s’opère à travers le prisme de la logique. A ce niveau, la pensée quitte l’état de l’utopie pour celui du concret, du vrai, du réel, grâce au rationalisme. Si donc, tout en étant fausse la réflexion fait l’écriture, et que la raison la rend authentique, alors, l’écriture, c’est du mensonge rationnel. Le syllogisme y trouve bien tout son sens. La littérature constitue alors l’alliage du vrai et du vraisemblable. C’est donc ce qui est à l’honneur ce jour à travers ce recueil de nouvelles que j’ai l’insigne honneur de vous présenter : À toi qui t’en vas. À toi qui t’en vas, c’est un…
Du nouveau dans les rayons: « À toi qui t’en vas » et « Colorant Félix » de Destin AKPO.
La cérémonie de sortie officielle des deux livres du Père Destin AKPO a connu son épilogue le samedi 28 Août 2021. Le collège catholique Père Aupiais de Cotonou a servi de cadre pour l’évènement. Entre un parterre d’hommes, d’amoureux et passionnés de lettres, la littérature béninoise a encore été honorée par ces joyaux littéraires. A toi qui t’en vas et Colorant Felix. Après le mot de bienvenue dit par la petite Chafia, le public a eu droit au passage de l’ensemble vocal ‘’Magnificat’’. Ce dernier a égayé la salle par ses doux airs aussi bien religieux que perçants. Ensuite, un petit documentaire a été proposé pour rendre hommage à celui qui constitue le soubassement de l’écriture du recueil de nouvelles. Il s’agit du jeune séminariste Christian FANOUDAN qui dort depuis deux ans du sommeil éternel.Par ailleurs, le recueil de nouvelles ‘A toi qui t’en vas a été présenté. Il faut…
La Librairie Delphina est à votre disposition pour vous satisfaire.
Ça y est, C’est la rentrée!!!Votre Librairie Delphina vous met à votre disposition: 📌 des fournitures scolaires de toutes les catégories, ( De la maternelle à l’université, technique et professionnel) 📌 des ouvrages de la littérature béninoise et africaine, et développement personnel.Ainsi que tous les accessoires de rentrée (sacs,…) 📌 Envoyez nous vos listes et nous apprêtons vos paquets. Plus besoin de vous tracasserUne seule adresse :…….. Nous sommes à St Jean à Cotonou juste à côté de la pharmacie de l’étoile. Elle est joignable aux numéros 64013434 97986999
« En Haïti, il faut plus d’efforts pour réveiller la littérature » Ben Johnson JUSTE
Bonjour les amis. Nous recevons pour vous aujourd’hui, un jeune écrivain haïtien : « La poésie est pour moi ce qu’est une épouse à son mari, un pilier. » BL: Bonjour Ben Johnson JUSTE. Nous sommes heureux de vous accueillir sur Biscottes littéraires. Merci de vous présenter à nos chers lecteurs.BJJ: Bonjour. Merci de me recevoir sur Biscottes Littéraires.Je suis Ben Johnson JUSTE, fils de la terre d’Haïti, je viens du département de la Grand-Anse, plus précisément de la ville de Jérémie surnommée la cité des poètes. J’ai 24 ans et je suis étudiant en médecine à l’Université Lumière (MEBSH).BL: Poète, c’est le nom qui vous sied le mieux. Parlez-nous de votre relation avec la poésie.BJJ: La poésie est pour moi ce qu’est une épouse à son mari, un pilier.Ça a commencé en 2007 quand j’ai voulu dévoilé mes sentiments à une fille de mon école, dès lors je me suis dit…