« Reckya Madougou est néanmoins une belle personne » STEPHENS AKPLOGAN
Bonjour les amis. Nous recevons pour vous aujourd’hui, un auteur Béninois, Stephens AKPLOGAN: » Notre éducation n’intègre pas le livre comme un corpus thérapeutique. La conséquence est sans appel. Très peu de gens lisent vraiment parce que nous n’en avons pas ou plus l’habitude. Nos jeunes frères sont incapables parfois de citer correctement un livre au programme mais peuvent chanter de mémoire un répertoire de plusieurs musiques. » BL : Bonjour Monsieur Stephens Akplogan. Nous sommes heureux de vous recevoir sur notre blog. Vous êtes écrivain béninois. Vous avez à votre compte, plusieurs œuvres littéraires. Comment cette aventure a-t-elle commencé ? Nous serons heureux d’en savoir davantage sur vous. SA : Merci. Je ne cache pas mon plaisir d’être sur Biscottes Littéraires. Je salue votre entreprenante vitalité qui sert nos littératures et donne de l’écho à nos voix particulières. Je suis rentré de façon pratique dans cette aventure en 2007 à mon retour de Dakar…
« Mon inspiration, c’est moi, c’est la nature, c’est le vide, c’est tout » Abdoulaye Diène Ndiaye
Bonjour les amis. Aujourd’hui, c’est lundi. Nous recevons pour vous un jeune auteur sénégalais. Allons à sa rencontre: « En tant que jeune poète Africain et conscient de la situation de l’Afrique, je me dois de jeter un regard critique« , Abdoulaye Diène Ndiaye BL : Bonjour monsieur. Nous sommes heureux de plus recevoir sur notre blog. Veuillez-vous présenter, s’il vous plaît. AN : Bonjour. Merci beaucoup pour cette opportunité que vous m’offrez pour s’exprimer au niveau de votre blog. C’est un honneur et un immense plaisir de partager avec vous. Je suis Abdoulaye Diène Ndiaye. J’ai 28 ans. Je suis écrivain poète et étudiant en Master Pro à l’institut de la Gouvernance Territoriale. BL : Pourquoi avoir choisi la poésie et en quoi/ à quoi cette poésie vous engage-t-elle, en tant que jeune africain? AN : « La poésie est comme un univers sans limite / réservé à un groupe restreint nommé Élite / Transcendant l’âme de tout bonheur / elle…
« Pour moi, la poésie est un tout », Ibn Bachir NDAO
Bonjour les amis. Nous recevons pour vous aujourd’hui un jeune auteur sénégalais: « Nous vivons dans des sociétés dominées par la recherche effrénée de matériels, de confort; des sociétés remplies d’hypocrites, de malhonnêtes, de gens qui ne sont pas trop catholiques », Ibn Bachir NDAO. BL : Nous sommes heureux de vous recevoir sur notre blog. Veuillez-vous présenter, s’il vous plaît. IBN : Le plaisir est partagé. Tout d’abord, permettez-moi de vous remercier de m’avoir offert l’opportunité de m’interviewer. Mais comme le voudraient les règles de la bienséance, j’aimerais saluer les internautes d’ici et d’ailleurs, mes chers lecteurs, entre autres. Mon nom, c’est Saliou NDAO, mon pseudo Ibn Bachir NDAO. Je suis jeune auteur sénégalais et professeur de Lettres Modernes. BL : Quelle est la genèse de votre recueil ? IBN : Je peux vous dire que la genèse de mon œuvre, c’est la Covid-19. Car, 23 des 25 poèmes de ce recueil sont composés pendant cette…
« Nous ne devons pas en tant que femme être timorée et craindre de nous exprimer », Christine DIAZ
Bonjour les amis. Nous recevons pour vous aujourd’hui, une jeune écrivaine française. Allons à sa rencontre: » Je crois qu’il est aussi surtout urgent d’éduquer nos enfants différemment. Nos garçons comme nos filles. Apprendre aux uns et aux autres que l’un n’est pas supérieur à l’autre… Nos garçons doivent apprendre et comprendre que les tâches ménagères incombent à tous ceux et celles qui salissent la maison ! « , Christine DIAZ. BL : Bonjour Madame. Nous sommes heureux de vous recevoir sur notre blog. Nos lecteurs sont curieux de vous connaître. Vous voudrez bien vous présenter, s’il vous plait ! CD : Bonjour à vous les Biscottes Littéraires ! Je vous remercie pour votre accueil. Je m’appelle Christine Diaz, j’ai 54 ans et 2 enfants. Je suis française. Il y a 2 ans je me suis installée en Bretagne, non loin de Nantes. J’en ai profité pour organiser ma vie professionnelle autrement afin d’avoir du temps pour…
« J’ai œuvré pour l’autoédition car cela me rend libre » PABLOEMMA
« J’ai œuvré pour l’autoédition car cela me rend libre. J’ai la possibilité de dire ce que je veux sans toute fois heurter les lecteurs. En plus, cela me permet d’avoir un large revenu sur les ventes car je perçois plus de soixante pourcent. En dehors de cela, je ne partage mes droits moraux avec personne », PABLOEMMA. BL : Nous sommes heureux de vous recevoir sur notre blog. Voudrez-vous bien vous présenter, s’il vous plait ? PE : Je suis Ngon à Ngon Emmanuel écrivain camerounais ; beaucoup plus populaire sous le pseudonyme de « PABLOEMMA ». Je suis né le 27 avril 1986 et l’auteur d’une quarantaine de livres parmi lesquels « Comment rencontrer l’âme sœur ? » lauréat du prix littéraire Edilivre (France) en 2015. Par ailleurs je suis également promoteur culturel. BL : Vous êtes un homme de lettres. Voudrez-vous bien nous parler de l’origine de cette passion pour les lettres ? PE : Bien évidemment je…
« La poésie est une quête perpétuelle de la beauté » Djalilou CHIRÉ MACHICKA
« Nous ne sommes pas au moyen âge, où les poètes pouvaient se permettre d’écrire à l’oiseau qui passe, à un chien ou à quelque chose d’autre, les problèmes sont grandissant », Djalilou CHIRÉ MACHICKA. BL : Bonjour Monsieur. Nous sommes heureux de vous recevoir sur notre blog. Voudrez-vous bien vous présenter, s’il vous plait. DCC: je suis Djalilou CHIRÉ MACHICKA, né à Guéné dans la commune de Malanville, apprenti poète, auteur de livre et slameur. Economiste de formation, titulaire d’une licence en économie et finance internationale, à l’université de Parakou. BL : Vous êtes Economiste de formation. Comment expliquez-vous votre passion pour les lettres ? DCC: la passion est tout ce qui nous pousse à émerger là où on nous attend le moins. J’aime la lecture. D’elle, je suis arrivé à l’écriture. Tout s’explique n’est-ce pas ? BL : Vous êtes auteur du recueil de poèmes Courroux d’un écorché vif. Quelle est votre conception de la…
« L’homme doit se soumettre pour s’émanciper » Khouma
» Je suis quand même un fervent défenseur de la femme car je trouve que cette être est dévalorisée, marginalisée et reléguée au second plan. Ma littérature est féminine, j’écris pour la femme. Je la défends contre le côté bestial de l’humain et l’injustice sociale », Khouma. BL : Bonjour monsieur Khouma. Ravis de vous recevoir sur notre blog. Pouvez-vous présenter, s’il vous plaît ? Khouma : Bonjour, ravi d’être reçu et merci de m’avoir accordé cette tribune. Pour répondre à votre question, je ne saurais quoi dire car je me suis toujours méfié de cet exercice de présentation. Il est un peu dangereux de parler de soi, vous en conviendrez. N’empêche, pour me présenter, je dirais que je suis un étudiant en L3 au Maroc et jeune apprenti écrivain sénégalais. Je crois que ça suffira (rire). BL : Quel est votre rapport avec l’écriture ? Khouma : C’est un rapport de servitude, l’écriture me…
« je suis un homme engagé pour la défense des droits de l’homme » Max Axel BOUNDA
« Oui, les mots ne suffisent pas. Le plus aberrant dans la lutte pour les droits et les libertés civiles, c’est de voir des gens faire des discours en se cachant derrière un écran, en appelant à la rébellion, au boycott mais ne jamais se faire voir sur le terrain »: Max Axel BOUNDA: BL : Bonjour Monsieur. Merci de nous accorder cette interview. Nos lecteurs sont curieux de connaitre l’auteur de l’Opération Forêt des Abeilles. Voudrez-vous bien vous présenter, s’il vous plait ? MB : Je ne saurais ouvrir cette interview sans dire merci à Biscottes littéraires d’avoir bien voulu me permettre de parler de l’Opération Forêt des Abeilles car il n’existe pas beaucoup de Webzines qui s’intéressent au noble art. Et j’en suis d’autant plus flatté que vous vous intéressiez à mon premier roman paru en 2019 et réédité il y a deux mois. Pour les lecteurs qui ne me connaissent pas, je…
« La vie est un combat, disent certains. La vie de Femme, un chemin de croix », Ernis
Bonjour les amis. Nous recevons aujourd’hui une écrivaine camerounaise. Elle nous parle de sa rencontre avec le livre : « Je suis une âme rebelle, un esprit tourmenté. J’ai toujours écrit, dessiné, et quand le mot me manque, je pleure. Parce qu’écrire est pour moi le seul moyen de guérir mes blessures, et de m’évader de ce monde réfractaire à la douceur ». BL : Bonjour Madame. Nous sommes heureux de vous avoir sur notre blog. Vous voudrez bien nous dire un mot en guise de présentation ? Ernis. Bonjour. Je m’appelle Ernis. Poétesse, dramaturge et Slameuse Camerounaise. BL : Vous êtes femmes de lettres, et nous vous recevons justement sous ce manteau. Vous voudrez bien partager avec le lectorat le déclic de votre passion pour les lettres ? Ernis. : Tout commence en 2011. La rencontre avec « Balafon de Engelbert Mveng » me bouleverse et suscite en moi l’envie d’écrire, de prendre la parle et d’offrir…
« Les comportements misogynes ont la vie dure dans les sociétés de type patriarcal », Caroline Meva
« Il y a encore quelques décennies, on ne parlait pas de littérature féminine africaine, mais aujourd’hui, la donne a changé ; il y a de plus en plus d’écrivaines africaines, dont le talent est reconnu mondialement » Caroline Meva. BL : Bonjour Madame. Nous sommes heureux de vous recevoir sur notre Blog. Nos lecteurs désirent vous connaître. Voudriez-vous bien vous présenter, s’il vous plait ? CM : Bonjour. Mon nom est Caroline Meva, je suis camerounaise ; j’ai fait des études secondaires de littérature ; je suis titulaire d’une maîtrise en philosophie ; diplômée de l’Ecole Nationale d’Administration et de Magistrature du Cameroun ; ancien cadre de la Fonction Publique Camerounaise ; écrivaine ; mariée et mère de famille. BL : Vous êtes une femme de lettres. Voudriez-vous bien partager avec nous votre passion des lettres ? CM : Je me suis entichée des belles lettres dès mon enfance, à travers la lecture des ouvrages puisés dans la bibliothèque du Lycée, par la suite,…