» Je pense que la littérature béninoise a de très beaux jours devant elle » Épaïnète ADJINAKOU.
Beaucoup pensent que l’amitié, c’est de régler tous les problèmes de l’autre à sa place, penser à sa place ce qui est bien pour lui, et parfois même planifier toute son existence.
« On ne quémande pas le respect, on le gagne », Lorance-K.
De toute évidence ! La recherche du gain facile a toujours existé. Ce n’est pas un phénomène nouveau. D’ailleurs, il n’y a rien de nouveau sous le soleil. Seulement, elle recrute des clients de plus en plus jeunes et j’avoue que cela inquiète la mère et l’éducatrice que je suis.
« La poésie est courte mais son temps d’imagination est bien plus long », RAY THE PRINCE.
Que certains éditeurs arrêtent de se comporter comme des commerçants. Le livre n’est pas un secteur riche financièrement. Si vous plongez dans l’édition, faites le travail qu’il faut ou alors abandonnez ! Un livre ne meurt pas aux lendemains de sa parution, ça devrait être le début de sa vie !
« Les éditeurs africains publient de bons livres » Serge Kevin BIYOGHE.
Globalement, ils ( les jeunes) ne lisent plus. On peut compter sur les doigts de la main, ceux qui lisent les livres du début jusqu’à la fin. C’est dommage !
« La beauté de l’oeuvre d’art réside dans la vérité qu’elle porte, aussi laide soit-elle », Florent HOUNDJO
La vie c’est du 69, un cercle concentrique qui se referme sur les protagonistes que nous sommes ; que c’est un cercle vicieux où le bien ( yin) et le mal (yang) tournent et se retournent frénétiquement et sans fin autour de notre destinée ; que c’est ce géant serpent qui se mord la queue…
« Il est urgent que l’on inculque des valeurs aux enfants dès le bas âge », Christine ELONG.
« Piégée par mon sang » est un roman qui entre dans le registre Réaliste – tragique. Il s’inspire de l’histoire d’une jeune femme courageuse qui en très peu de temps et de manière assez violente va perdre en cascade plusieurs personnes qui constituent son cadre familial restreint…
« La littérature dans nos géographies est dynamique et inventive », Joseph MBARGA.
Pour moi, il faut beaucoup lire pour bien écrire. Cela permet de connaître ses goûts, peut-être de découvrir ses forces et ses faiblesses en tant qu’auteur ou autrice et d’avoir une bonne culture littéraire.
» Les prix ne font pas de vous un meilleur artiste, » OsvaldeLewat.
Un prix est toujours un encouragement. Une incitation à continuer. Evidemment il faut en relativiser la portée. Les prix ne font pas de vous un meilleur artiste. Ils vous offrent une visibilité qui permet trivialement de mieux gagner sa vie si l’on est chanceux et d’élargir son public. Les prix obligent à une plus grande exigence vis-à-vis de votre art.
« Je crois dur comme fer en la jeunesse africaine » Bertrand MBOMENI.
J’aime la femme. C’est un être qui inspire et qui régule le sens de mes idées dans ce monde magique où le verbe se consacre au chevet de l’indicible crainte azuréenne qui nous hante à chaque fois que le voyage s’impose à nous.
« Je pense que les gens lisent toujours, mais moins qu’avant « .
J’adore l’humour. Je trouve que rire est une forme de divertissement qui pimente la lecture d’un livre. Ainsi, la saga sera entièrement du genre fantastique avec de belles touches d’humour.