« Je crois dur comme fer en la jeunesse africaine » Bertrand MBOMENI.
J’aime la femme. C’est un être qui inspire et qui régule le sens de mes idées dans ce monde magique où le verbe se consacre au chevet de l’indicible crainte azuréenne qui nous hante à chaque fois que le voyage s’impose à nous.
« Je pense que les gens lisent toujours, mais moins qu’avant « .
J’adore l’humour. Je trouve que rire est une forme de divertissement qui pimente la lecture d’un livre. Ainsi, la saga sera entièrement du genre fantastique avec de belles touches d’humour.
Les Journées poétiques sont un festival de poésie qui tend à rendre plus visible la poésie béninoise.
Les Journées poétiques sont un festival de poésie qui tend à rendre plus visible la poésie béninoise en l’occurrence celle du Nord Bénin. Vous savez la poésie béninoise a depuis les nouveaux programmes d’études perdu sa noblesse et sa place dans la sphère de l’éducation.
« Je crois dur comme fer en la jeunesse africaine » Bertrand C. MBOMENI.
Je crois dur comme fer en la jeunesse africaine. Le courage à toute épreuve en la jeunesse malienne, centrafricaine sénégalaise et même du Burkina Faso opposée à la néocolonisation occidentale, la diaspora africaine qui brille de mille feux.
« Pour vivre heureux, il faut embrasser le silence de la solitude » Kwami Hugues BALOGOUN
En Afrique, il n’existe pratiquement pas de démocratie mais plutôt une instauration de l’ethnocratie qui engendre des guerres ethno-tribales partout dans le continent.
« Dans les foyers, on laisse croire que la femme est l’esclave de l’homme » Frank William BATCHOU.
Dans nos maisons, on fait croire, sans le dire officiellement, que le jeune garçon est le dieu suprême. Qu’il doit croiser les pieds et attendre au salon quand sa sœur ou ses sœurs se tuent seules aux tâches domestiques.
« Les mots réparent, la parole sauve », Titha EYENGA.
La fiction est la sœur cadette de la réalité, elle explique le côté imaginatif de la réalité refoulée puisque tout le monde n’aime pas regarder les autres comme ils sont.
» La poésie c’est la vie ! « , Rick ASSYLA.
! La littérature est depuis toujours, un vecteur de développement. Etant donné que le développement commence par un changement de paradigme et de mentalités, la littérature s’offre ainsi comme un moyen afin d’y parvenir. Raison pour laquelle il faut lire et encourager les gens à lire !
« Écrire m’a permis de poser des tas de réflexion » Billie Ana.
Je veux dire aux femmes de s’assumer comme elles sont. Peu importe ce que dit le parent, le frère, la sœur, l’ami, le collègue. La vie appartient à chacun et surtout, on en a qu’une ! Ce serait bien dommage de la vivre pour satisfaire les autres !
» J’écris par nécessité, presque comme pour rétablir un ordre. », Suzanne Kemenang.
Bonjour les amis. Nous recevons pour vous aujourd’hui lundi, jour d’interview sur votre blog, une éditrice auteure d’origine camerounaise, Suzanne Kemenang « : Je pense déjà que la littérature ne devrait pas être réduite à un genre ou une race, c’est un art, une forme d’expression, un moyen de communication que l’écrivain ou l’écrivaine utilise pour dénoncer, célébrer, raconter ou encore transmettre. » BL : Bonjour Madame. Nous sommes heureux de vous recevoir sur Biscottes Littéraires. Nos lecteurs sont curieux de vous connaitre. Voudrez-vous bien vous présenter, s’il vous plait ? S.K : Bonjour, c’est moi qui vous remercie de me donner cette opportunité de me faire connaître auprès de vos lecteurs. Je suis Suzanne Kemenang, éditrice, auteure et entrepreneure d’origine camerounaise et je vis au Canada depuis 2007. Je suis la fondatrice et directrice générale des Éditions Terre d’Accueil, une maison d’édition francophone située dans la grande région de Toronto. Je mets un…