« La littérature a besoin qu’on la promeuve, c’est un fait » Pauline M. N. ONGONO
Ônoan est une agence littéraire et de communication littéraire basée au Cameroun. Bonjour les amis. Nous sommes très heureux de recevoir pour vous aujourd’hui, une femme dans le domaine de la diffusion du livre. Il s’agit de Pauline M. N. ONGONO: » La vie littéraire au Cameroun et en Afrique est en ébullition. Les choses bougent de plus en plus. Des rencontres littéraires, des associations littéraires, des promoteurs littéraires, et autres initiatives, naissent tous les jours. Ce qui est encore plus intéressant, c’est que ces mises sur pied sont le fait des jeunes ». BL : Pouvez-vous vous présenter ? PO : Bonjour à vous et à vos abonnés. Je suis Pauline M. N. ONGONO, une Camerounaise amoureuse des livres. J’ai une formation en information documentaire (bibliothéconomie, archivistique et documentation) acquise à l’ESSTIC (Ecole Supérieure des Sciences et Techniques de l’Information et de la Communication) de Yaoundé. Lasse d’être une bibliothécaire ordinaire entre…
« J’écris surtout pour guérir mes plaies » Koffi Victoire GNENGBA.
Bonjour les amis. Aujourd’hui lundi, et nous recevons à cet effet sur votre blog, un jeune auteur togolais: « Pour permettre aux écrivains de nos pays de sortir de cette ombre, il va falloir inscrire massivement les œuvres des écrivains africains dans le système éducatif ( du primaire jusqu’à l’Université ), placer en bonne quantité leurs ouvrages dans les rayons bibliothécaires, faire de véritables promotions des œuvres sur tous les plans ( cafés, dédicaces, débats, des émissions radiophoniques, sur les chaînes, etc.), multiplier les travaux critiques, etc. » BL : Bonjour, cher l’écrivain. Présentez-vous à nos abonnés. KG : Bonjour, monsieur le promoteur, bonjour à tous les abonnés de la page » Biscottes Littéraires ». Je me nomme Koffi Victoire GNENGBA, âgé de 21 ans. Je suis étudiant en dernière année de licence au département de Lettres Modernes à l’Université de Kara, et auteur d’une trilogie à savoir Le prix du rendez-vous d’amour ( nouvelles),…
« Je ne combats pas l’ennemi avec mots, je le soumets à mes mots » Béatrice Mendo.
Bonjour les amis. Aujourd’hui lundi, nous recevons pour vous une écrivaine camerounaise, Béatrice Mendo: « : Être, pour moi c’est s’interroger. Mille questions entourent notre capacité et notre qualité d’être et d’êtres. L’existence est un gros point d’interrogation qui s’épaissit à mesure qu’on s’interroge ». BL : Bonjour, Béatrice Mendo, nous sommes heureux de vous accueillir sur Biscottes Littéraires. Veuillez vous présenter aux lecteurs. BM : Je suis écrivaine camerounaise, qui n’a de cesse de repousser les limites du formidable territoire du mot. Je dis souvent aussi que je suis un fonctionnaire fantasque, qui délaisse volontiers l’écriture formelle et formalisée liée à son activité professionnelle, pour me laisser aller à une écriture dans laquelle s’épanouit mon goût pour l’ironie et autres tournures de style qui désarçonnent. BL: Comment est née et a grandi votre passion pour la littérature? BM : Ma passion pour la littérature est tellement liée à mon goût immodéré pour la lecture…
« En Haïti, il faut plus d’efforts pour réveiller la littérature » Ben Johnson JUSTE
Bonjour les amis. Nous recevons pour vous aujourd’hui, un jeune écrivain haïtien : « La poésie est pour moi ce qu’est une épouse à son mari, un pilier. » BL: Bonjour Ben Johnson JUSTE. Nous sommes heureux de vous accueillir sur Biscottes littéraires. Merci de vous présenter à nos chers lecteurs.BJJ: Bonjour. Merci de me recevoir sur Biscottes Littéraires.Je suis Ben Johnson JUSTE, fils de la terre d’Haïti, je viens du département de la Grand-Anse, plus précisément de la ville de Jérémie surnommée la cité des poètes. J’ai 24 ans et je suis étudiant en médecine à l’Université Lumière (MEBSH).BL: Poète, c’est le nom qui vous sied le mieux. Parlez-nous de votre relation avec la poésie.BJJ: La poésie est pour moi ce qu’est une épouse à son mari, un pilier.Ça a commencé en 2007 quand j’ai voulu dévoilé mes sentiments à une fille de mon école, dès lors je me suis dit…
« L’Afrique tend toujours vers un abime culturel » Gaya Esau
Bonjour les amis. Nous recevons pour vous aujourd’hui, un jeune écrivain camerounais: « . Le Cameroun lit. Les camerounais lisent. L’univers littéraire m’a tendu les bras car plusieurs acteurs de l’industrie du livre m’ont ouvert leurs locaux afin de faire la promotion de mes livres ». Gaya Esau BL :Bonjour Gaya Esau. Merci de nous accorder cette interview. Veuillez vous présenter à nos lecteurs. GA : Merci, Bonjour. Je suis Gaya Esau. Je suis jumeau à Abiatini Israël. Nous avons vu le soleil pour la première fois le 11 septembre 1998 à Goyonré, dans le département du Mayo-Danay, au Cameroun. J’ai passé mes dix premières années à Goyonré où j’ai fréquenté à l’École Parent de Goyonré et d’Agoyo. En 2010, ma famille déménage à Moulvoudaye, un arrondissement situé dans le département du Mayo-Kani. À Moulvoudaye, je continue mes études à l’École Groupe 3 de Moulvoudaye et au Lycée de Moulvoudaye. Je sors du Lycée…
« Il y a encore certaines personnes qui aiment lire la poésie. » Maryse WEISSER MACHER
Bonjour les amis. Aujourd’hui lundi, jour d’interview sur votre blog. Nous recevons à cet effet, une écrivaine française: « Les prix sont décernés par des humains, eux-mêmes ayant leurs propres goûts, leurs histoires, leur vécu. Leur ressentit est relatif et peut même varier dans le temps. J’ai déjà reçu des critiques littéralement opposées pour le même texte ». BL : Bonjour Madame. Merci de nous accorder cette interview. Nos lecteurs sont curieux de vous connaître. Vous voudrez bien vous présenter, s’il vous plait ? MWM : Bonjour et merci de m’interviewer. Je suis française, et je réponds au nom de Maryse WEISSER MACHER. Je vis dans le sud de la France, vers Toulouse. Je travaille en petite enfance, de formation infirmière puéricultrice. J’entame une reconversion professionnelle afin de travailler en bibliothèque. Mes lectures ainsi que mes écrits ont été déterminants dans ce choix que je continue à suivre avec détermination. BL : Vous nourrissez…
« La poésie, c’est tout simplement la musique de la littérature. » Esther HERVY
Bonjour les amis. nous recevons en ce lundi, jour d’interview de la semaine, l’écrivaine française Esther HERVY: « Les inégalités entre les femmes et les hommes sont toujours bien présentes et touchent tous les domaines de la vie. Cependant, je ne me revendique pas féministe, car j’aurais l’impression de vouloir prendre une revanche sur les hommes, ce qui n’est pas le cas. Je proteste simplement contre toute forme de discrimination, d’injustice ou de soumission des femmes ». BL : Bonjour Madame. Nous sommes heureux de vous recevoir sur notre blog. Nos lecteurs sont impatients de vous connaître. Vous voudrez bien vous présenter, s’il vous plaît ? EH : Bonjour Biscottes Littéraires et merci de m’accueillir, le plaisir est partagé. Je m’appelle Esther Hervy, je suis traductrice indépendante et je vis à Paris, en France. J’écris depuis de nombreuses années. Du poème à la nouvelle, en passant par le roman et le journalisme. BL : Vous êtes…
« Les premières amours sont plus difficiles à oublier » Chrime Kouemo
Bonjour les amis. Nous recevons pour vous aujourd’hui, une écrivaine camerounais, Chrime Kouemo: « Pour moi le féminisme, est une idéologie, un ensemble de mouvements qui a pour but de remettre les hommes et les femmes sur le même pied d’égalité, de leur donner les mêmes droits ». BL : Bonjour Madame. Merci de nous accorder cette interview. Voudrez-vous bien nous dire un mot en guise de présentation, s’il vous plaît ? CK : Bonjour Monsieur. C’est un honneur pour moi de participer à cette interview. Je suis Chrime Kouemo de mon nom de plume, femme africaine d’origine camerounaise, ingénieure en bâtiment, passionnée de lecture et d’écriture bien évidemment. BL : Comment expliquez-vous votre passion pour lettres ? CK : D’aussi loin que je me souvienne, j’ai toujours aimé lire. Petite, je lisais tout ce qui accrochait mon œil, des panneaux publicitaires aux romans en passant par les articles de presse et magazines. BL : Quand avez-vous senti le…
« Je ne suis pas convaincu qu’il y ait un manque d’engouement pour la poésie » Timba Bema
Bonjour les amis. Aujourd’hui, c’est lundi, jour d’interview sur votre blog. allons à la découverte de l’écrivain de la semaine: » Pour moi, la littérature est le produit des institutions littéraires. Pour sonder l’état d’une littérature, il faut questionner ses institutions littéraires. Par institutions littéraires je veux parler des éditeurs, des réseaux de distribution et de diffusion, des réseaux de communication, des prix littéraires, des académies, des festivals, des journaux ou magazines, des critiques amateurs ou universitaires, de l’école, de la politique du livre de l’État. », Timba Bema BL : Bonjour Timba Bema. Nous sommes heureux de vous recevoir sur Biscottes littéraires. Écrivain, musicien, vous êtes un artiste polyvalent et multi talents. Les lecteurs sont sans doute curieux d’en savoir plus sur l’homme. TB : Bonjour. Je vous remercie de cet entretien. Il est toujours difficile de se définir, c’est-à-dire de tracer une frontière entre soi et les autres, de délimiter un espace…
« Je pense que la littérature nous sert de mémoire » Fabienne Josaphat
Bonjour les amis. Nous recevons aujourd’hui une écrivaine haïtienne, vivant aux USA: » Les Haïtiens on tendance à vénérer le Bénin comme leur terre d’origine, vu que la traite des esclaves avait arraché plusieurs ancêtres de Dahomey. Beaucoup d’Haïtiens se voient comme des descendants du Bénin. J’ai toujours gardé un désir de visiter ce pays et de fouler cette terre de nos ancêtres, donc j’y arriverai sans doute bientôt. » BL : Bonjour Madame. Nous sommes heureux de vous recevoir sur Biscottes Littéraires. Voudrez-vous bien vous présenter, s’il vous plait ? FJ : Je suis Fabienne Josaphat, auteur du roman A L’OMBRE DU BARON. Je suis Haïtienne et je vis aux Etats-Unis depuis plus de vingt ans, et ma passion c’est l’écriture. J’écris des romans dérivés de l’histoire, du passé, des évènements qui nous marquent. BL : Nous vous recevons en tant que femme de lettres. Le lectorat est curieux de connaître la source de…